Joëlle Morosoli et ses ombres
Joëlle
Morosoli en une artiste franco-canadienne née à Strasbourg en France en 1951.
Sa famille immigre au Canada en 1961, alors qu’elle est âgée de 10 ans. Elle
travaille notamment l’installation et l’architecture intégrée. Elle a beaucoup
exposé au Québec, comme à Gatineau ou à Trois-Rivières, mais également au
Centre Georges Pompidou. Elle fait souvent des
collaborations avec son mari d’origine suisse, Rolf Morosoli. Elle réalise des installations
cinétiques dans lesquelles le mouvement est exploité pour susciter des émotions.
Pour son travail d’architecture, elle essaie d’évoquer les mouvements de la
nature. Elle utilise le mouvement dans ses différentes installations, qu’il
soit lent ou rapide, constant ou intermittent. Comme pour la plupart des
artistes qui réalisent des installations, elle invite le spectateur à traverser
son art pour en vivre l’expérience. L’ombre est une thématique qui revient à
quelques reprises dans l’ensemble de son Œuvre, ce qui peut également être en
lien avec son utilisation du mouvement, pour faire bouger les ombres. Le mouvement provoque
également selon elle l’instinct
de survie du spectateur.
Joëlle Morosoli (17 septembre 2011). Joëlle Morosoli Ombre sous tension HD.
[Vidéo en ligne]. Repéré à https://www.youtube.com/watch?v=PS3Bk_Y6COY
[Vidéo en ligne]. Repéré à https://www.youtube.com/watch?v=PS3Bk_Y6COY
Joëlle Morosoli. (4 octobre 2012). Joëlle Morosoli Camaïeu d'ombres sans musique.mov.
[Vidéo
en ligne]. Repéré à https://www.youtube.com/watch?v=789tPcUS6vs
Joëlle Morosoli. (22 mars 2013). Traquenard_1.
[Vidéo
en ligne]. Repéré à https://www.youtube.com/watch?v=789tPcUS6vs
La dernière oeuvre est un schéma pour réaliser une sculpture de Joelle Morosoli et Rolf Morosoli. Elle est disponible au lien suivant :
(1988). À faire : une
sculpture en mouvement de Joëlle et Rolf Morosoli :« Espace interdit, paradigme no.1 ». Espace Sculpture, 4
(3), 20–20.
MÉDIAGRAPHIE
Belu,
F. (2007). Compte rendu de [L’art et la violence / L’installation en
mouvement une esthétique de la violence Joëlle Morosoli Éditions d’art Le
Sabord 237 pages, 2007]. Vie des Arts, 51 (208), 91–91.
Repéré à : https://erudit-levis.proxy.collecto.ca/fr/revues/va/2007-v51-n208-va1094581/52499ac/
Connolly, J. (2012). Compte rendu de [Joëlle Morosoli,
des mirages et leur mise en scène / Joëlle MOROSOLI, Ombres sous tension :
un environnement made in Circa, Collaboration de Rolf Morosoli, Centre
d’exposition Circa, Montréal, 10 septembre – 8 octobre 2011]. Espace
Sculpture, (99), 48–48. Repéré à
https : https://erudit-levis.proxy.collecto.ca/fr/revues/espace/2012-n99-espace053/66186ac/
Enoac. Joëlle Morosoli.
Repéré à https://www.enoac.ca/fr/user/2364/public
Joëlle
Morosoli. Joëlle Morosoli. Repéré à : http://www.joellemorosoli.com/
Le Merlus, C. (2017).
Joëlle Morosoli, la mécanique des Êtres. ETC MEDIA, (111), 80–81.
Repéré à : https://erudit-levis.proxy.collecto.ca/fr/revues/etcmedia/2017-n111-etcmedia03197/86487ac/
Wikipedia. (7 septembre
2019). Joëlle Morosoli. Repéré à : https://en.wikipedia.org/wiki/Jo%C3%ABlle_Morosoli


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