L'infini dans l'art contemporain et l'art actuel
Utile ou futile?
Introduction
L’infini étant, ironiquement, un sujet infiniment complexe, nous ne ferons ici qu’effleurer sa surface dans le but d’exposer sa présence dans l’art contemporain et l'art actuel.
Afin de simplifier les choses, nous considérerons dans ce dossier que l’infini est un concept valide, malgré qu’il ne le soit peut-être pas.
Bref historique de l’infini
L’infini est un concept qui intrigue, trouble et fascine l’humanité depuis sa plus tendre enfance. Nous savons aujourd’hui qu’il y a environ 50 000 ans, l’infini hantait déjà l’esprit humain. Nous commencions à enterrer nos morts, signe qu’une certaine prise de conscience sur l’éphémérité de la vie s’était amorcée, et comme les Pythagoriciens l’ont plus tard théorisé sous le nom de Coincidentia oppositorum, chaque chose implique son contraire. C’est-à-dire qu’en constatant le «fini» de l’existence humaine, nous observions inévitablement l’«infini» de la mort. Ensuite, une vingtaine de milliers d’années plus tard - un peu plus de 30 000 ans avant notre ère - apparurent les premières preuves du développement d’une vision artistique du monde, principalement par des peintures rupestres représentant des animaux sauvages et des scènes de chasse, tout cela renvoyant à l’idée précédente; nous réalisions petit à petit, de manière non instinctive, que notre désir inconscient d’atteindre l’infinité évidente de la mort durant notre vivant dépendait indubitablement de notre capacité à imposer la qualité de «fini» aux autres entités animées qui erraient sur notre monde.
Vinrent subséquemment les premières traces de sédentarisation, suivies des civilisations originelles, pour qui l’infini prit enfin une forme plus développée que la simple survie de l’individu; nous visions collectivement non seulement la survie de l’humain unique, mais aussi de l’espèce humaine dans son ensemble. C’est alors que naquit l’écriture, outil infiniment puissant, qui permit à la connaissance de facilement transcender les générations, et donc d’acquérir une certaine forme d’infinité. Grâce à cette nouvelle forme de transmission du savoir, de plus concrètes réflexions par rapport à l’éternel purent voir le jour.
Ainsi, au fil des siècles et à travers les différentes cultures émergentes, les formes que prit l’infini aux yeux humains se multiplièrent, se complexifièrent et s’approfondirent. Essentiellement, trois types de vision consciente de l’infini s’offrirent à nous. Les voici, en ordre chronologique de naissance: les visions religieuses (ou spirituelles), les visions mathématiques (ou scientifiques) et les visions philosophiques (ou raisonnées).
En Égypte antique, on imaginait Noun comme étant une entité divine, à l’état d’océan sans fin, représentant le chaos et le néant antérieurs à la création du monde. Les plus anciennes divinités égyptiennes ensuite provinrent de cette mer infinie et créèrent la Terre tel un miroir de leur propre monde, mais n’y mirent jamais les pieds. Les pharaons régnaient sur l’Égypte et représentaient le seul intermédiaire entre les Dieux et la Terre. On bâtit les immuables pyramides dans le but d’honorer les pharaons et d’assurer leur repos éternel.
Au sein de l’Inde de l’époque védique, qui débuta 1500 ans avant notre ère, on écrivit le Yajur Veda, livre sacré contenant de nombreux mantras, dont certains décrivant les mathématiques. On instaura les neuf chiffres du système décimal, mettant aussi en place les nombres allant jusqu’aux trillions. De même, on établit «pūrṇa» avec le mantra suivant: Si l’on soustrait «pūrṇa» de «pūrṇa», il restera toujours «pūrṇa». «Pūrṇa» constituant donc un nombre infini; il est l’équivalent du symbole «∞».
Premièrement, l'infini est dans la division des grandeurs.
Les mathématiciens aussi utilisent l'infini, et ce par la division. Par exemple, la formule de l'aire du cercle πr2 est corroborée par la division du cercle en un nombre infini de triangles.
Deuxièmement, il y a infinité de la source.
En effet, la destruction et la génération ne s'épuisent pas, ce ne peut être que grâce à l’infinité de la source d’où tout est engendré.
Troisièmement, le temps est infini.
Toute génération reçoit une fin, mais la source n'a pas de principe qui l'engendre et ainsi elle n'a pas non plus de fin. Ainsi, le mouvement de la génération et de la corruption s'inscrit dans le temps et il est dû à une source inengendrée et incorruptible. C’est dire que le temps lui-même est infini.
Quatrièmement, il n'y a pas de limite en soi.
Ce qui est limité ne l'est que par autre chose, de sorte que rien ne sera limite puisque la limitation est toujours entre deux termes. L'infini est cette absence de limite en soi.
Cinquièmement, la représentation de l'infini ne l'épuise pas.
Aristote donne pour exemple les grandeurs mathématiques et ce qui est hors du ciel. Les quantités et les étendues ne peuvent pas circonscrire l'infini par représentation. Autrement dit, on ne peut pas cerner l'infini dans son ensemble, car l'infini est toujours plus grand que ce qu'on aura cerné.
(Eveil-delaconscience, 2013, paragr. 4)
Alors que les visions religieuses et mathématiques sont demeurées plus ou moins stagnantes depuis leur conception, les visions philosophiques n’ont cessé de progresser; plusieurs philosophes ont, depuis l’époque de la théorie de l’infini, décrit et justifié l’infini à leur façon, en revisitant ou non le travail de leurs prédécesseurs, contribuant ainsi à l’évolution du concept à travers les âges, jusqu’à aujourd'hui.
Depuis les nombreuse révolutions des siècles nous précédant, peu importe le type d’art dont on parle, il paraît y avoir un besoin général exponentiellement grandissant de représenter l’infini, de trouver l’infini, de comprendre l’infini, car il nous hante depuis toujours, or il semble nous échapper de plus en plus… mais pourquoi? À quoi est dû notre désir croissant d’atteindre l’infini?
Particulièrement de nos jours, l’une des principales raisons qui permet à la notion d’infini d’évoluer constamment est l’art. Nous ferons donc dans ce dossier un survol de la place qu’occupe l’infini dans l’art contemporain et l’art actuel via la pratique de trois artistes, et peut-être mettrons-nous en lumière quelque réponse à ces questions.
L’infini dans l’art contemporain et l’art actuel
L’art contemporain et l’art actuel regroupent une multitude d’artistes qui poussent l’art vers de nouveaux horizons, et une bonne partie de ceux-ci effectue un travail en lien avec l’infini, que ce soit en tant que propos principal ou non. Ces artistes font part de leur questionnement sur le concept au grand public à l’aide d’oeuvres exploitant divers médiums.
Prenons Yayoi Kusama en exemple premier. Cette artiste japonaise née en 1929 souffre d’une maladie mentale lui provoquant, depuis qu’elle a dix ans, des hallucinations visuelles momentanées. Pendant sa première hallucination, elle fixait un motif floral répétitif sur une nappe, et lorsqu’elle dévia son regard, les murs de la pièce où elle se trouvait portaient à leur tour ce motif.
En prenant connaissance de cette anecdote, on reconnaît immédiatement ses installations, qui consistent souvent en des motifs d’accumulation de pois couvrant des pièces entières contenant des formes tridimensionnelles étranges. Les miroirs sont également essentiels dans sa pratique, puisqu’ils lui permettent de donner des profondeurs infinies à ses oeuvres.
En utilisant ces deux aspects, Yayoi Kusama réussit à nous plonger dans l’univers de ses hallucinations et dans la réflexion que ces dernières ont amenées chez elle. En effet, elle réfère dans ses oeuvres à la métaphore suivante: elle se considère comme un pois, parmi des millions d’autres pois. Elle s’interroge sur la place de l’être humain dans l’infini univers, le poids d’un instant dans l’éternel temps, l’influence d’une seule personne dans l’immense complexité de la société, bref, l’importance d’un pois unique dans une infinité d’autres pois.
Son travail reflète en quelque sorte l’absurdité du monde moderne et de la course à l’argent, toutes deux engendrées par l’illusion de progrès économique tant convoitée par la société capitaliste de consommation. En d’autres mots, et en hyperbolisant pour bien vulgariser le propos, tout le monde cherche à devenir le plus riche, le plus couronné de succès, alors que nous ne sommes tous que des petits pois similaires et insignifiants.
Yayoi Kusama invite ainsi son audience à se poser d’importantes questions fondamentales, en lui proposant de vivre une expérience sensorielle incomparable qui concrétise visuellement, jusqu’à une certaine limite, lesdites questions. Elle cherche à consolider ce que l’on connaît présentement de l’infini avec le principe d’individualité, en exposant l’infini en toute simplicité, mais grandiosité, tel qu’elle le vit personnellement.
En prenant connaissance de cette anecdote, on reconnaît immédiatement ses installations, qui consistent souvent en des motifs d’accumulation de pois couvrant des pièces entières contenant des formes tridimensionnelles étranges. Les miroirs sont également essentiels dans sa pratique, puisqu’ils lui permettent de donner des profondeurs infinies à ses oeuvres.
En utilisant ces deux aspects, Yayoi Kusama réussit à nous plonger dans l’univers de ses hallucinations et dans la réflexion que ces dernières ont amenées chez elle. En effet, elle réfère dans ses oeuvres à la métaphore suivante: elle se considère comme un pois, parmi des millions d’autres pois. Elle s’interroge sur la place de l’être humain dans l’infini univers, le poids d’un instant dans l’éternel temps, l’influence d’une seule personne dans l’immense complexité de la société, bref, l’importance d’un pois unique dans une infinité d’autres pois.
Son travail reflète en quelque sorte l’absurdité du monde moderne et de la course à l’argent, toutes deux engendrées par l’illusion de progrès économique tant convoitée par la société capitaliste de consommation. En d’autres mots, et en hyperbolisant pour bien vulgariser le propos, tout le monde cherche à devenir le plus riche, le plus couronné de succès, alors que nous ne sommes tous que des petits pois similaires et insignifiants.
Yayoi Kusama invite ainsi son audience à se poser d’importantes questions fondamentales, en lui proposant de vivre une expérience sensorielle incomparable qui concrétise visuellement, jusqu’à une certaine limite, lesdites questions. Elle cherche à consolider ce que l’on connaît présentement de l’infini avec le principe d’individualité, en exposant l’infini en toute simplicité, mais grandiosité, tel qu’elle le vit personnellement.
Considérons comme deuxième exemple Feliks Tomasz Konczakowski. Cet artiste polonais né en 1982 est depuis longtemps obsédé par la répétition, les miroirs, l’autoréférence, l’émulation, le temps, la subversion, la décadence, les souvenirs, la perte et l’infini. Toutes ses oeuvres sont digitales. Il diffuse ses premières créations en 2014, où il s’intéresse particulièrement aux paréidolies visuelles, illusions d’optiques qui font voir au cerveau des formes connues, tels des visages, où il n’y en a pas réellement. Konczakowski crée plusieurs oeuvres de ce type avec des abstractions presque psychédéliques, puis plus tard ajoute une dimension de mouvement à ces images; elles composent de courts vidéos qui recommencent dès qu’ils finissent (vidéos sous forme de GIFs animés), formant des boucles parfaites.
C’est à partir de ce moment que son médium numérique devient un véritable atout, lui permettant de produire des boucles perpétuelles qui donne une impression de chute éternelle. Ses oeuvres sont relativement simples, mais tout de même explorent indéniablement l’aspect stupéfiant, hypnotisant et déconcertant de l’infini; elles renvoient directement à l’infinité sublime de notre univers.
Konczakowski nous fait contempler l’infini de manière à exposer habilement l’insatisfaction constante que produit ce concept dans l'esprit humain. Nous ne connaissons toujours rien qui soit réellement et complètement infini, créant chez nous un vide, ce qui est en parfaite contradiction avec le concept; l'artiste nous révèle explicitement la paradoxalité de notre relation avec l’infini. Peut-être se moque-t-il de notre sempiternelle quête de l’éternel? Même si c’est le cas, il ne se contente pas de seulement poser cette problématique, il cherche aussi un certain réconfort face à celle-ci.
En effet, il émet toute une série de chutes incessantes - on peut également les voir comme des zooms - ressemblant grandement à des formes fractales (formes ayant la propriété de posséder des détails identiques d’une échelle infiniment grande à infiniment petite), à partir d’objets du quotidien. Des brocolis, des pizzas, des cadres, des appareils photos, des visages, des horloges, des fleurs, tous ces éléments spiralent indéfiniment.
Il propose à son audience la cessation d’une recherche trop lointaine, il nous ramène à ce qui se trouve près de nous, à ce que l'on connaît. En nous étourdissant, nous éblouissant sans relâche avec l’infini, Konczakowski nous empresse de constater la beauté dans les choses communes, l’abondance dans la modestie, l’excellence dans l’ordinaire; il nous supplie d’arrêter de nous comparer aux autres, d’enfin voir et accepter ce qui nous différencie, d’accueillir à bras ouverts notre propre splendeur.
C’est à partir de ce moment que son médium numérique devient un véritable atout, lui permettant de produire des boucles perpétuelles qui donne une impression de chute éternelle. Ses oeuvres sont relativement simples, mais tout de même explorent indéniablement l’aspect stupéfiant, hypnotisant et déconcertant de l’infini; elles renvoient directement à l’infinité sublime de notre univers.
Konczakowski nous fait contempler l’infini de manière à exposer habilement l’insatisfaction constante que produit ce concept dans l'esprit humain. Nous ne connaissons toujours rien qui soit réellement et complètement infini, créant chez nous un vide, ce qui est en parfaite contradiction avec le concept; l'artiste nous révèle explicitement la paradoxalité de notre relation avec l’infini. Peut-être se moque-t-il de notre sempiternelle quête de l’éternel? Même si c’est le cas, il ne se contente pas de seulement poser cette problématique, il cherche aussi un certain réconfort face à celle-ci.
En effet, il émet toute une série de chutes incessantes - on peut également les voir comme des zooms - ressemblant grandement à des formes fractales (formes ayant la propriété de posséder des détails identiques d’une échelle infiniment grande à infiniment petite), à partir d’objets du quotidien. Des brocolis, des pizzas, des cadres, des appareils photos, des visages, des horloges, des fleurs, tous ces éléments spiralent indéfiniment.
Il propose à son audience la cessation d’une recherche trop lointaine, il nous ramène à ce qui se trouve près de nous, à ce que l'on connaît. En nous étourdissant, nous éblouissant sans relâche avec l’infini, Konczakowski nous empresse de constater la beauté dans les choses communes, l’abondance dans la modestie, l’excellence dans l’ordinaire; il nous supplie d’arrêter de nous comparer aux autres, d’enfin voir et accepter ce qui nous différencie, d’accueillir à bras ouverts notre propre splendeur.
En guise de troisième et dernier exemple, visitons la pratique du peintre Alex Grey. Cet artiste américain né en 1953, après avoir étudiés les arts visuels, apprend de manière autodidacte l’anatomie humaine, qui l’a toujours fortement intéressé. Il est fasciné par la superposition des multiples couches qui composent notre corps (squelette, vaisseaux sanguins, système lymphatique, système nerveux, muscles, etc.). Maîtrisant alors l’anatomie et la peinture, il obtient l’accès à la création d’oeuvres splendidement uniques et inouïes.
Ses nombreuses expériences avec les drogues psychédéliques le poussent vers un art visionnaire, dans lequel il explore une panoplie de thèmes qui ne sont pas nécessairement accessibles au plus commun des mortels. Il modélise dans ses peintures, entre autres, le spirituel, le mystique, le divin, la conscience, le sublime et l’infini. Alex Grey prône notamment à travers ses toiles une harmonie universelle, un amour de toute chose et un partage absolu entre chaque être.
L’envergure de la profondeur de ses propos est aux limites de l'insaisissable pour quiconque ne connaissant pas l’ampleur et l’unité ineffables que font vivre les substances psychédéliques (ou certaines pratiques de méditation). Il arrive toutefois à communiquer au grand public certaines de ses idées essentielles grâce à l’infinie précision de sa peinture. Effectivement, par exemple, il emploie à maintes reprises des formes fractales, qui montrent l’aspect infini et universel de ses thèmes. Il utilise aussi beaucoup la répétition, qui contribue au même effet.
De plus, il exprime l’importance qu’il accorde à la communion du corps, de la conscience et de l’esprit; il encourage son audience à unifier ces trois aspect afin d’être en mesure de saisir le véritable pouvoir d'une personne humaine. Alex Grey cherche donc à propager l’idée d’harmonie universelle parmi tout ce qui se trouve entre l’infiniment petit et l’infiniment grand. À une échelle moins cosmique, cela se traduit par l’éternel respect de soi-même, des autres et de tout être et chose qui nous entoure. Alex Grey est ainsi certain que l’application concrète de cet immuable respect nous propulserait vers une société beaucoup plus saine, ou même infiniment plus saine.
Ses nombreuses expériences avec les drogues psychédéliques le poussent vers un art visionnaire, dans lequel il explore une panoplie de thèmes qui ne sont pas nécessairement accessibles au plus commun des mortels. Il modélise dans ses peintures, entre autres, le spirituel, le mystique, le divin, la conscience, le sublime et l’infini. Alex Grey prône notamment à travers ses toiles une harmonie universelle, un amour de toute chose et un partage absolu entre chaque être.
L’envergure de la profondeur de ses propos est aux limites de l'insaisissable pour quiconque ne connaissant pas l’ampleur et l’unité ineffables que font vivre les substances psychédéliques (ou certaines pratiques de méditation). Il arrive toutefois à communiquer au grand public certaines de ses idées essentielles grâce à l’infinie précision de sa peinture. Effectivement, par exemple, il emploie à maintes reprises des formes fractales, qui montrent l’aspect infini et universel de ses thèmes. Il utilise aussi beaucoup la répétition, qui contribue au même effet.
De plus, il exprime l’importance qu’il accorde à la communion du corps, de la conscience et de l’esprit; il encourage son audience à unifier ces trois aspect afin d’être en mesure de saisir le véritable pouvoir d'une personne humaine. Alex Grey cherche donc à propager l’idée d’harmonie universelle parmi tout ce qui se trouve entre l’infiniment petit et l’infiniment grand. À une échelle moins cosmique, cela se traduit par l’éternel respect de soi-même, des autres et de tout être et chose qui nous entoure. Alex Grey est ainsi certain que l’application concrète de cet immuable respect nous propulserait vers une société beaucoup plus saine, ou même infiniment plus saine.
Conclusion
En art contemporain et en art actuel, l’infini est ainsi assurément un sujet d’importance. Cependant, notre constante recherche de l’infini est basée sur l’assomption que ce concept existe et qu’il est valide. Considérons maintenant que l’infini ne peut tout simplement pas exister dans notre univers, devient-il alors absurde d’essayer de le comprendre? Ou reste-t-il, à travers l'art, une source inépuisable(ou presque) d’évolution de la conscience humaine?Médiagraphie
Filiapolis. (9 octobre 2016). #21 L'infini est-il un concept valide ? [Vidéo en ligne].Repéré à https://www.youtube.com/watch?v=NLz82lpYuVc
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Repéré à https://www.alexgrey.com/art/paintings/soul/alex_grey_gaia-3
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Repéré à https://www.alexgrey.com/art/paintings/soul/alex_grey_the_one
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Repéré à https://www.artfifa.com/fr/films/architecture-of-infinity
Hofer, B. et Seitler, C. (producteurs) et Schaub C. (réalisateur). (2018). Architecture of Infinity [Documentaire]. Suisse : maximage Filmproduktion GmbH.
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